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Hamster Forever
Juin
29
Rakoth (le nom vient d'un personnage -un demi dieu- de la "Chronique de Hjorvard" de Nick Perumov) est un groupe russe qui s'est formé en 1996. Une première démo en 1997 ("Dark ages chronicles"), quelques problèmes de line-up (le départ semble t-il mouvementé du batteur…) et le groupe enregistre son premier album "Superstatic equilibrium" en 1998. Le groupe signe chez le label italien Code666 et enregistre "Planeshift" en 1999. En 2001, un nouvel album "Jaberworks" sort où figurent des versions réenregistrées de la démo. A la fin de l'année 2001, le groupe signe chez Elitist (label d'Earache) pour 4 albums et en accord avec avec code666, "Planeshift" est remasterisé (au studio Turan Audio -ou on sévis Emperor, Opeth…) pour ressortir en juin 2002.
Le groupe évolue dans un style qui sort des sentiers battus : imaginez, un mélange médiéval-elfique (des textes inspirés par l'univers de Tolkien), doom atmosphérique (digne des My Dying Bride et autres Anathema) et du black metal… Au menu, flute, chant clair et mélancolique qui alterne avec des vocalises black, nappes de claviers, guitares planantes et furie black en prime ! A l'écoute de l'album, on ne peut qu'être séduit, la variété des compos, épiques, la qualité des arragements alliés à une production très correcte, font qu'on ne voit pas le temps passer…
Une bonne introduction à l'univers du groupe, qui enregistre actuellement un nouvel album ("Tiny deaths") qui devrait voir le jour en juin 2002, et dont le potentiel, à l'écoute de "Planeshift" est très prometteur !
Web Hamster (07.5/10)
Elitist – Earache / 2002
Track listing (48:13)
1.Planeshift (introduction) 2. Fear (wasn't in the design) 3. Noldor Exodus 4. The Dark Heart of Uurkrul 5. Og' Elend 6. Planeshift 7. Gorthaur Aulendil 8. Mountain God 9.The Unquiet Grave 10. Outro
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Hamster Forever
Juin
27
Le groupe de metal progressif catalan sort un troisième opus ambitieux… Un concept album totalement dédié à l'architecte Antonio Gaudi (dont les oeuvres ont contribué à rendre Barcelone célèbre dans le monde entier, avec sa vision unique du style gothique). Une fois de plus, certains vont râler sur la capacité de Dream Theater à susciter des émules sur toute la planète, mais faut il le rappeler, le metal progressif est un style exigeant qui demande un talent d'exécution plutôt élevé et peu de groupes sont capables de se lancer sans être ridicules sur les brisées des New Yorkais… Et pour ce qui concerne le talent, Pyramid est bien pourvu… Le guitariste Tony Valles est loin d'être un manchot pour ne citer que lui (il a plus d'un tour dans son sac, passant allégrement de solis de guitares dignes de Petrucci à des passages plus seventies tendance guitariste psychédélique sous acide), mais on pourrait aussi s'extasier sur les talents de Santi Leal guitariste et claviériste hors pair. Beaucoup d'ambiances construites avec minutie (la plus réussie est sans conteste le passage jazz) et des compos alambiquées au programme, qui tentent de broder une illustration sonore des oeuvres de l'architecte. Seules faiblesses (inhérentes au style), quelques longueurs instrumentales qui devraient insupporter les réfractaires au progressif et le requiem pompeux qui conclut l'album. Cela dit, l'album a un concept original et devrait plaire aux afficionados du prog'.
Web Hamster (08/10)
Locomotive – M10 / 2002
Track listing (66:16)
1. Born Gaudi 2. sons of Gaudi 3. Art takes word 4. Sister Sona 5. La Pedrera 6. The architect of God 7. The Guell's Dragon – part I 8. The Guell's Dragon – part II 9. The Guell's Dragon – part III 10. Welcome to the community WTHC 11. Requiem Gaudi
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Hamster Forever
Juin
20
Oulalala un sticker racoleur ( y a pas de loi pour ça ?) participation de Victor Smolski (Rage), onze titres dans la veine du Metallica des débuts. Alléchant !! Mouaaaiiiiiis…. Victor fait un solo et signe un titre d'une poignée de secondes, quant à la comparaison avec Metallica….
Bon on retrouve effectivement la tonalité dans la voix et parfois dans certaines attaques mais on est très loin des premiers albums des Four Horsemen. La terrible efficacité d'un Jump in the fire ou d'un Hit the light par exemple, n'est pas du tout présente dans cet album. Assurément influencés mais de là à proclamer different mais pareil y a un monde. Bleeding est certes lourd genre "For whom the bell…" mais lui il reste lourd, pas genial. Il n'y a pas de folie dans cet album, c'est carré, appliqué mais rigide et donc l'auditeur ne décolle jamais.
Papy (05/10)
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AFM – NTS / 2002
Tracklist (55:45)
1. Time of Lies 2. Bleeding 3. Born 4. The Progress 5. Open My World 6. The Urge For More 7. Blinder 8. Dragon's Mouth 9. What Is God
10. Our Century 11. Ending Dreams (Bonus Track)
