Le chanteur, dans une lignée Wade Black, pourtant a toute les capacités pour des chansons plus franchement Heavy , plus carré n'est pas vraiment bien employé, certaines montées cassent avec la musique. Mais le groupe ne s'est jamais pris au serieux ( un deuxième album de reprise est en cours d'enregistrement). Mais là ils sont quand même un peu dur à suivre. Un peu comme l'histoire du fou qui se tape la tête avec un marteau, ça fait mal ben oui, là c'est pareil on en prend plein le museau !!!
Archive for novembre, 2002
Powergod – Evilution part 3 – Nemesis
Author: Hamster ForeverNov 21
Le chanteur, dans une lignée Wade Black, pourtant a toute les capacités pour des chansons plus franchement Heavy , plus carré n'est pas vraiment bien employé, certaines montées cassent avec la musique. Mais le groupe ne s'est jamais pris au serieux ( un deuxième album de reprise est en cours d'enregistrement). Mais là ils sont quand même un peu dur à suivre. Un peu comme l'histoire du fou qui se tape la tête avec un marteau, ça fait mal ben oui, là c'est pareil on en prend plein le museau !!!
Skinlab – ReVolting Room
Author: Hamster ForeverNov 15
ENFIN !!! Le chaînon manquant entre Sepultura et Machine Head et de retour… 3 ans d'attente après " Disembody : the new flesh ", exploration ultime du côté obscur, violent et malsain du thrash… On n'est pas déçu, bien au contraire… Et manifestement, la colère est toujours intacte chez certains groupes de la bay area. Cet album est tout simplement énorme. En 5 ans, Skinlab est devenu un groupe monstrueux et dévastateur. Mention spéciale au vocaliste, Steev Esquivel qui, non content de massacrer tout le monde avec ses hurlements flippants, se met à chanter, avec un ton grave, une voix profonde et mélodique. Et mine de rien, ça donne une ampleur inégalée aux compos qui gagnent en intensité dans les passages violents. Côté guitares, on ne perd rien au change avec le nouveau, Glen Telford, dont les rythmiques lourdes sont tout simplement terribles. Gros progrès pour le son de batterie de Paul Hopkins dont la frappe est systématiquement percutante (ce qui n'était par toujours le cas avec Disembody ou parfois le son était un peu faiblard)…
Une intro bien malsaine pour mettre en condition, et Come get it ne laisse aucun doute, Skinlab a encore fait monter très haut les enchères au niveau deploiement sans limite de brutalité… La différence majeure avec Disembody, c'est la structuration de l'album, ou les passages mélodiques sont équilibrés avec les déchainements de violence. Il faut ajouter qu'ils ont été aidés par une paire de tueurs derrière les manettes. Steve Evetts (à qui l'on doit le sursaut de Sepultura avec Nation) et Andy Sneap (Machine Head, Napalm Death), et grâce à eux, Skinlab passe l'épreuve du troisième album avec brio. Slave the way est plus dans la veine de Disembody, un carnage sans pitié… Un peu épuisant, vu que l'on ne vient de subir qu'un titre ! Purify, semble reposant avec une intro un peu electro, mais la pause avec Skinlab c'est 30 secondes, après on colle au mur l'auditeur !!!
L'alternance du chant mélodique et des hurlements de la part de Steeve fait froid dans le dos…" Anthem for a Fallen Star ", plus rock dans son intro, laisse l'auditeur dans l'expectative : quand va t'on s'en ramasser plein la tronche ? Hé ben non, la tendance serait plus hardcore (tendance new yorkaise), et Glen se permet d'utiliser un pédale wah wah (ça doit bien être la première fois pour Skinlab, parlez d'un évènement), avec un petit clin d'oeil à Sepultura à la fin (réécoutez Chaos AD à la fin, après Policia…). " Disturbing the Art of Expression ", commence en douceur, avec une guitare au son clair, et on se rend compte encore une fois qu'il a vraiment bossé les parties de chant Stev, mais là aussi, la sauvagerie reprend ses droits dans le refrain ! En live ce sera un massacre dans le pit…
La boucherie monte d'un cran avec Take as needed, dès l'intro de batterie, speed, on le sait, on n'en sortira pas vivant en concert, et Hopkins se déchaine à la batterie comme si sa vie en dépendait ! Jesus cells, mid tempo, avec une intro bien lourde, et dont le passage batterie/guitare claire rappelle un album de sauvage brésiliens sorti en 93…" Never give in " laisse espèrer que ces brutes se sont un peu calmées, intro avec un feeling authentique, et une guitare au son clair, mais là encore, le thrash va parler ! Si vous ne hurlez pas en choeur pendant le refrain, vous zetes 6 pieds sous terre… Un moment de répit sur la fin ou le groupe construit une ambiance sombre avec une tension bien perceptible… Et pour en finir avec toi public, " One of us ". Avec un riff entêtant au son clair, et repris à fond avec un son bien thrash, histoire d'achever les derniers survivants… Et c'est fini, enfin presque, nous avons droit à 15 minutes de messages de fans… la "revolting room" est ouverte et tout le monde peut y gueuler ses diatribes, revoltes du jour, commentaires sociaux… Un des albums de l'année vient de sortir, et passer à côté serait une faute inexcusable ! PS : je tiens à adresser mes condoléances aux groupes qui accompagneront Skinlab en tournée, ce sera un massacre…
Revolting web Hamster (09/10)
http://www.myspace.com/skinlab
Century Media / 2002
Track listing (45 minutes + 15 minutes un peu spéciales) 1. Intro 2. Come Get It 3. Slave The Way 4. Purify 5. Anthem For A Fallen Star / 6. Disturbing The Art Of Expression / 7. Take As Needed / 8. Jesus Sells / 9. Never Give In / 10. One Of Us
Luca Turilli – Prophet Of The Last Eclipse
Author: Hamster ForeverNov 13
Arf c'est quoi cette intro indienne (coupée en plus ..), suivie de quelque chose de plus… spatial !? Oulala… déjà la pochette de jeu vidéo série z, ça inspire pas confiance mois je vous le dis. Je vais finir pas croire qu'il n'a pas de goût l'ami Luca, tiens un pur passage de classique ben voyons.
Soyons clair il y a tout de même une différence par rapport au premier opus solo de Monsieur Turilli mais bon ça casse pas des briques… Les meilleurs passages sont tout de même des ressucées de ce que pourrait faire Rhapsody en 10.000 fois mieux ; que voulez vous faire avec Olaf Hayer au chant, je comprend toujours pas que Luca , qui doit avoir l'oreille musicale, poursuive avec ce gars : il est beaucoup trop limité pour ce genre de musique c'est clair.
Les chœurs font penser au troisième album de Rhapsody, avec du reste le même coté bourrin lié avec du classique, y a bien quelques passages surprenants du genre musique du futur (moderne à donf, avec de la machine si tu préfères) ou l'utilisation d'une flûte de pan avec un effet magnifique sur New century's Tarantella (c 'est curieux c'est ma préférée de l'album) : mais c'est un peu mal exploité, Luca nous faisant passer de la Cordillère des Andes aux Balkans !
Nan désolé ça c'était déjà présent sur le premier album, et c'est dommage de ne pas avoir poursuivi sur de quelque chose de plus péruvien qui aurait été innovant. Les parties chant classique/lyrique sont sympas mais pas extraordinaires… Loin de la classe d'un Thérion par exemple. Bref tout pour dire que ça tourne en rond , que ça propose rien de neuf, tout comme la production de l'album (Sacha & Miro) qui prend un coup de vieux et n'égale pas du tout celle donnée par ses même personnes à l'album de Kamelot.
Un peu comme l'amie de Luca qu'on trouve partout, vidéo de Rhapsody, sur scène et maintenant dans le livret de l'album solo…C'est plus de l'amour c'est de la rage, s'il pouvait retrouver cette dernière (et non du simple bourinage) avec une créativité supérieure on serait plus content. Prophet of the last eclipse est un album calibré, calculé et donc malheureusement sans saveur. Je le conseillerais plus en tant qu'occase, c'est vraiment pas assez créatif et novateur pour subjuguer l'auditeur, car l'album traînera plus sur votre étagère qu'à coté de votre platine.
Papy (04/10)
NTS / 2002
Track listing (51:32) 1. Aenigma 2. War Of The Universe 3. Rider Of The Astral Fire 4. Zaephyr Skies Theme 5. The Age Of Mystic Ice 6. Prince Of The Starlight 7. Timeless Oceans 8. Demonheart 9. New Century's Tarantella 10. Prophet Of The Last Eclipse