Archive for janvier, 2013

oshy_11012013_Di_KrupPour entretenir la ferveur des fans et entretenir la flamme, DIE KRUPPS revient à la lumière en ce début d’année via un single 3 titres. Quoique sans surprise, la musique des allemands restent souvent très efficace à l’image du EP, Als wären wir für immer, publié en 2010. Risikofaktor n’est qu’un single donc pas grand-chose à se mettre sous la dent. Le cd contient un nouveau titre éponyme, un remix et un live.

Autant j’avais été convaincu par l’EP autant le titre « Risikofaktor » me laisse complétement froid. La patte DIE KRUPPS est bien présente avec ce sens de la mélodie, ces effets électroniques et le chant froid mais là la mayonnaise ne prend vraiment pas. Cela manque de profondeur et ce n’est vraiment pas assez catchy pour remporter mon suffrage. Le refrain est assez raté et le château de carte s’effondre joyeusement. Une grosse déception. Pour le reste, pas de quoi s’enthousiasmer non plus tant le remix sonne absolument sans intérêt (il tape carrément sur les nerfs). On se réconfortera avec le live qui sauve un peu les meubles et démontre encore une fois que DIE KRUPPS peut s’avérer être irrésistible sur scène.

Si vous voulez un conseil, passez votre chemin sur ce sigle sans intérêt et allumez quelques cierges afin que « Risikofactor » ne soit pas représentatif de l’album à venir.

Oshyrya (03/10)

 

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SPV – Synthetic Symphony / 2013

Tracklist (12:52 mn) 01. Risikofaktor 02. Zwei Herzen, ein Rhythmus (Leaetherstrip! remix) 03. Der Amboss (Live @ Amphi Festival 2011)

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01. Comment te sens-tu à quelques semaines de la sortie du nouvel album Straight Out of Hell ?

Je suis anxieux quant à la réponse du public face à ce nouvel album. Tu ne sais jamais comment vont réagir. Nos premiers échos sont très positifs, en particulier lors du Loud Festival au Japon il y a quelques semaines de cela. Nous avons alors joué le single « Burning Sun », le single au Japon et la réaction a été très bonne. Tout le monde est content jusqu’à présent, la maison de disque, toute l’équipe et je suis sûr les fans seront heureux aussi. Donc je ne sais pas trop comment les choses évolueront en Europe et en particulier ici en France mais tout semble aller dans le bon sens avec notre futur show à l’Olympia. Même après toutes ces années, je ne sais toujours pas anticiper la réaction des gens, cela reste chaque fois une surprise.

 

02. Que peux-tu nous dire des sessions d'enregistrement de Straight Out Of Hell ?

De mon point de vue, cela a été la meilleure session d’enregistrement à laquelle j’ai eu la chance de participer. Je suis dans la groupe depuis 10 ans maintenant, le line-up est bien établi, tout le monde se connait bien et cela rend l’atmosphère plus relax. Chacun contribue en proposant des chansons donc ce fut très agréable. Au niveau de l’enregistrement, nous avons essayé de limiter au maximum l’usage des ordinateurs, tout a été joué sans avoir recours au click. Nous avons été très libres pour insuffler une âme à ces chansons. Il est important pour nous de retrouver album après album la même atmosphère, les mêmes personnes pour nous entourer. Notre management est le même depuis des années, nous avons Charlie (ie Bauerfeind le producteur) à nos côtés. En particulier pour moi Charlies est important, c’est le producteur avec lequel je veux travailler systématiquement. Je suis rentré en contact très jeune déjà à l’époque de FREEDOM CALL et maintenant je le retrouve avec HELLOWEEN. Il me connait par cœur et je peux être détendu avec lui.

 

03. De ton point de vue quelles sont les principales différences entre Straight Out Of Hell & 7 Sinners ?

D’évidence la composition des chansons, nous avons encore tous progressé. J’aime 7 Sinners mais je crois que les titres de ce nouvel album sont meilleurs, mieux écrits. Je ne sais pas si les gens le percevront de cette façon mais c’est ainsi que je l’ai ressenti.

 

04. Album après album, tu contribues de plus en plus au groupe à travers tes compositions. S’agit-il d’une évolution naturelle et as-tu été encouragé pour les autres membres du groupe ?

A mon arrivée dans le groupe, je n’avais que quelques idées en stock et quand nous avons fait Rabbit don’t Come Easy par exemple j’avais deux titres bien avancées et Andi est arrivé avec ses propres compositions et je me suis rendu compte que le niveau en terme d’écriture était très élevé. En même temps les autres membres étaient demandeur de contributions, ils voulaient que les idées fusent. Donc j’ai dû apprendre et progresser moi-même pour pouvoir me mettre aux standards d’HELLOWEEN et composer de meilleures chansons. Par exemple, je parlais à peine anglais quand j’ai intégré le groupe. Donc pour fournir des paroles j’ai dû travailler et devenir meilleur. Ce fut effectivement un processus naturel et surtout une question de confiance entre les membres du groupe. HELLOWEEN repose sur un équilibre très fragile et si tu n’agis pas comme il faut, tout peut rapidement devenir tendu au niveau musical.

 

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05. Comment travaillez-vous ? Composez-vous un maximum puis vous faites du tri ou vous ne composez que ce qui sera ensuite enregistré ?

C’est comme tomber amoureux. Il faut que le public puisse se connecter aux chansons des albums que nous proposons. Ce fut le cas pour 7 Sinners ou Gambling with the Devil. Je pense que Gambling with the Devil a été le véritable premier album d’HELLOWEEN de ce line-up. C’est mon opinion, pas sûr que les autres partagent cet avis. Gambling with the Devil est pour moi un chef d’œuvre, c’est le début d’une belle aventure. Dani (Löble – batterie) venait d’arriver et nous n’avions qu’une tournée ensemble. Tout était neuf mais avec de la confiance et de très nombreux facteurs positifs se conjuguaient. Chacun a pu apporter le meilleur, au niveau composition en particulier. Nous avions travaillé chacun de notre côté puis nous nous sommes réunis pour écouter les chansons des uns et des autres puis nous avons sélectionné les meilleures pour l’album. Depuis Gambling with the Devil c’est notre façon de travailler. Et le processus s’améliore à chaque fois.

 

06. Vu de l’extérieur, tu sembles pouvoir assez facilement t’adapter aux mécanismes internes des groupes auxquels tu participes. Il y avait deux leaders évident dans FREEDOM CALL (Dan Zimmermann et Chris Bay) et également au sein d’HELLOWEEN (Andi Deris & Michael Weikath). A chaque fois tu as su d’une façon ou d’une autre contribuer eu groupe. Comment fais-tu ?

Ma situation au sein de FREEDOM CALL était loin d’être facile et confortable pour moi sinon je serais toujours sans le groupe. J’ai quitté le groupe en 2001 je crois parce que je n’ai pas pu trouver l’espace pour m’exprimer. C’était difficile à l’époque, je ne sais pas si la situation à changer dans le groupe depuis. Le problème venait plus de Chris (i eBay – chant & guitares) que de Daniel. Chris était le leader. Et finalement c’était un peu normal et j’étais alors un jeune musicien. Je suis reconnaissant envers FREECOM CALL car ils m’ont mis le pied à l’étrier et ce fut le début d’une carrière, j’ai beaucoup appris pas au niveau musical mais au niveau personnel. C’est aussi grâce à cela que je suis assis devant toi aujourd’hui.

Au sein d’HELLOWEEN l’histoire est différente. Tu n’as pas dans le groupe de leaders évidents, il n’y a pas de chef d’orchestre. Bien sûr tu as le frontman, Andi, c’est la voix de groupe et c’est ainsi que les choses doivent rester. Puis tu as Michael (ie : Weikath) qui est, selon moi, HELLOWEEN, pas celui du passé mais le groupe présent. Sans lui il n’y aurait pas d’HELLOWEEN. Mais ils n’agissent pas en leader, imposant leurs volontés au reste du groupe. Il y a une compréhension commune de ce que doit être le groupe. C’est pourquoi j’ai intégré ce groupe quand Charlie m’a téléphoné il y a 10 ans de cela. Il m’a dit « c’est évident que tu peux jouer ces titres, que tu peux composer pour le groupe mais tu dois aussi être capable de t’entendre avec Michael ». C’est un homme très spécial, pour moi de façon positive pour d’autres non. Et tout c’est bien passé entre nous. Je l’avais déjà rencontré une fois sans pouvoir beaucoup discuter.

 

07. Mais Charlie avait un bon feeling ?

Oui et puis j’avais survécu à FREEDOM CALL malgré la frustration de voir que tout était construit autour de Chris et que je souhaitais contribuer sans vraiment pouvoir… En réalité, je peux être ton « esclave » mais alors tu me payes un très bon salaire et je ferai ce que tu me dis de faire. Pour un certain temps je peux m’en contenter mais si ce n’est pas très gratifiant. C’était tout le contraire dans HELLOWEEN, ils avaient besoin d’un véritable membre pur compléter Michael à la guitare, faire partie d’une équipe et contribuer au niveau des chansons.

 

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08. Je devrais poser la question à Andi mais tu as sûrement ton opinion. Souvent en vieillissant les chanteurs ont tendance à économiser leur voix. Au contraire, album après album et en particulier sur Straight Out Of Hell, Andi n’hésite pas à monter dans les aigus quand il l’estime nécessaire. En avez-vous discuté eu sein du groupe et n’as-tu pas d’inquiétudes quant à sa capacité à reproduire ce chant soir après soir en tournée ?

Bien sûr en tournée c’est toujours plus difficile qu’en studio. Pendant l’enregistrement si tu ne te sens pas capable un jour, tu peux t’y remettre le lendemain. As-tu déjà assisté par exemple à une bonne performance sur scène de Lou Gramm ? non ah ah ah ! Mais sur disque, il est fabuleux. Voilà ce que j’ai à dire à propos de tous ces débats sur le chant d’Andi. Ce que les gens ne comprennent pas c’est qu’Andi est un chanteur très spécial par rapport à tous les autres et même vis à vis de Michaël Kiske (ex-HELLOWEEN, UNISONIC), et je sais que je suis là sur un terrain miné. Il y a de nombreux Michael Kiske dans le business mais il n’y a qu’un Andi Deris. Personne ne sonne comme Andi, personne ! Donnes moi le nom d’un artiste qui chante exactement comme lui ? Personne ! Sa voix est très particulière tout comme son registre et la façon dont il articule sa voix avec la musique. Cela dépend du style et s’il l’estime nécessaire il monte sans difficulté dans les aigus.

C’est la même chose pour moi au niveau des guitares. Certains titres plus anciens ne me parlent pas. C’est difficile de les jouer, pas au niveau technique, mais c’est si différent de ce que j’aurais fait moi-même. Je ne pourrais jamais jouer certaines partie comme Kai (ie Hansen, ex-HELLOWEEN, GAMMA RAY) par exemple. Jamais car ce n’est pas venu de moi. Andi fait face parfois au même écueil quand il doit se frotter au répertoire de Michael Kiske. Ce sont des chanteurs complétements différents. Tu ne peux pas les comparer et je trouve cette tendance à comparer tout avec tout particulièrement stupide. Arrêtez ce jeu ridicule et profitez de ce que vous avez. Et c’est bien ce que fait Andi. Il peut chanter dans les aigus mais cela doit rester son style.

 

09. Vous avez tourné un clip vidéo pour le premier single « Nabataea ». Que peux-tu nous en dire et apprécies-tu cet exercice ?

Nous n’avons pas encore vu le résultat final. A chaque fois c’est différent, parfois c’est très facile et parfois c’est vraiment éprouvant. Dans ce cas-ci, cela n’a pas été de tout repos car nous avons tournée dans une cave, très sale avec des difficultés pour respirer. Mais cet exercice me plait car je me souviens qu’en j’avais 16 ans et que je rêvais de faire cela, de tourner des vidéos, d’avoir un contrat discographique donc il y a de quoi s’amuser pendant les tournages. Les tournées également peuvent s’avérer parfois très ennuyeuses mais tu te souviens alors de ton adolescence quand tu rêvais de cela. Nous verrons le montage final la semaine prochaine et puis nous verrons pour la suite. Nous sommes très occupés en ce moment et je ne sais pas si nous tournerons d’autres clips pour cet album.

 

10. Comme bonus sur l’album vous proposez une version spécifique de « Burning Sun » avec orgue Hammond. Etais-ce important pour vous de rendre cet hommage à Jon Lord ?

Ce fut l’idée de Michael de proposer ce titre car il venait d’apprendre la disparition de Jon Lord. C’est un grand fan et il a pensé qu’il pourrait être une bonne idée de faire cette version du single japonais en remplaçant une des guitares par l’orgue. C’est son hommage à ce grand monsieur. DEEP PURPLE est bien sûr une grand influence. Avec LED ZEPPELIN ils sont à la base du métal

 

11. Comment travaillez-vous avec l’artiste en charge de vos pochettes d’album ? Dommage que l’accent soit désormais mis sur les images de synthèse par rapport aux superbes dessin d’un Better than Raw ou Metal Jukebox…

Nous échangeons des idées avec lui. Pour cette fois j’avais moi-même mis des idées sur le papier grâce à Photoshop. Nous en avons discuté avec l’artiste en charge et il est très bon pour la 3D. C’est dans ce domaine qu’il est le meilleure t nous aimons travailler avec lui. Il fait aussi de la réalisation vidéo, des reportages photos… Il n’est pas très doué pour la peinture classique comme d’autres illustrateurs donc nous avons préféré qu’il se concentre sur ses points forts. Nous avons l’idée de visuels rappelant les Comics avec des héros tout en restant en rapport avec le sens des paroles des différentes chansons. Le titre de l’album est venu naturellement, à partir d’une chanson et la pochette est venue dans la foulée dans le respect de ce titre.

 

12. Venons-en donc au titre de l’album…

Tout est parti de cette histoire de fin du monde en 2012, nous allons peut-être bientôt tous mourir et les gens n’avaient que ce sujet à la bouche. Nous pensions nous à 2013 puisque l’album sortira en début d’année prochaine et que nous serons encore sans doute vivant. Donc nous avions cette état d’esprit positif contrebalancé par certaines chansons assez sombres sur le monde contemporain. Chaque jour un nouveau « connard » nait, un futur banquier, politicien mais ils arrivent directement de l’enfer (Straight Out of Hell) car ils ont survécu à l’apocalypse de 2012. C’était l’idée de base et nous avons travaillé sur la pochette avec cela en tête. Nous avons pensé à une vision de l’enfer avec les volcans, le ciel noir et une canalisation venant de l’enfer transportant des figurines de dictateurs comme Hitler ou Mobutu… Mais si on met Hitler sur une de nos pochettes, en tant que groupe allemand, nombreux seront ceux à mal le prendre. Donc cela a été retravaillé pour déboucher sur le résultat final que vous pouvez voir un peu partout.

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13. Quelles sont tes principales influences à l’origine de ta carrière et encore maintenant ?

C’est mon oncle qui est à l’origine de beaucoup de chose. C’était mon héros à 12 ou 13 ans. Il avait les cheveux longs, une guitare et des amplis Marshall… A travers lui j’ai découvert de nombreux groupes qui étaient old-school pour mon âge : DOKKEN, PRETTY MAIDS… Et plus jeune je jouais du piano mais tout a changé à l’écoute de Michael Schenker à la radio. J’en ai eu des frissons et alors j’ai voulu être guitariste et jouer comme lui.

 

Comme d’habitude, le questionnaire Métal Chroniques pour conclure cette interview:

Quelle est ta chanson favorite ?

C’est très difficile. Je peux prendre un medley avec moi sur une ile déserte ? Je prendrai un classique comme « Kashmir » de LED ZEPPELIN je pense.

 

Premier album acheté ?

MSG – Save Yourself

 

Dernier album acheté ?

Il y a deux jours de cela, le dernier IN THIS MOMENT (Blood)

 

Quel son ou bruit aimes-tu ?

Le son de ma femme quand elle me réveille le matin.

 

Quel son ou bruit détestes-tu ?

Les pets ! ah ah ah

 

Tous nos remerciements à Olivier GARNIER & Roger WESSIER (Replica Promotion)

 

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Chronique de l'album ici

Site internet

oshy_11012013_HelllowePetit événement dans le monde du métal teuton avec la sortie du nouvel album d’HELLOWEEN, Straight out of Hell. Le temps passe ma bonne dame et il s’agit déjà du quatorzième album des allemands, le neuvième avec Andi Deris derrière le micro. Après un 7 Sinners bien bourrin et assez décevant de mon point de vue, le groupe semblait rester en mode automatique, assez talentueux et professionnel pour proposer quelques compositions sympathiques sur chaque nouvel opus mais loin des fastes du passé (de Master of the Rings à The Dark Ride). Ils sont quatre désormais à contribuer à la composition. Andi Deris reste le plus prolifique avec 5 chansons, Weikath et Gerstner en proposent chacun 3 et enfin Grosskopf signe les deux dernières. Et on trouve vraiment à boire et à manger, du très bon au franchement moyen.

Précisons de suite que le cru 2013 est réussi, à la fois fruité et plein de caractère. Il ne fera par contre pas chavirer le cœur des fans de la première heure du groupe, ils ne changeront pas d’avis ici et se réconforteront à coup d’UNISONIC. Straight out of Hell synthétise finalement parfaitement l’HELLOWEEN Mark VI. Les titres de Weikath comme « Burning Sun » maintiennent l’orthodoxie helloweenienne, Deris amène comme d’habitude une touche plus mélodique et accessible, presque pop et Gerstner symbolise la fougue de la jeunesse avec des chansons techniques et bien rentre-dedans.

Contrairement à ce que pensent mes camarades, le groupe est entré dans la lumière à mes yeux avec l’arrivée de Deris (hérésie, je sais, je réciterai quatre notre Walls of Jericho et huit je te salue « Future World » en pénitence) et je retrouve ici, avec cet album, un peu de l’enthousiasme de cette époque bénie (de 1994 et 2000). De nombreuses chansons squattent allégrement mon lecteur mp3 : « Nabataea », « Live Now », « Burning Sun » ou encore « Waiting for the Thunder ». Elles sont parfois assez simples mais très rafraichissantes et catchy comme je les aime. Tout n’est pas parfait et le dernier quart de l’album s’essouffle un peu via des compositions plus quelconques genre un « Asshole » simpliste et sans intérêt. Je regrette également que la pochette soit médiocre, générée par ordinateur et bien loin des beautés d’antan comme Better than Raw ou Metal Jukebox.

Pour conclure, j’ai été séduit par ce Straight out of Hell qui voit un groupe renouer avec les fondamentaux des débuts de la période Deris. Finalement, à y regarder de plus près, Deris, Kiske, Hansen et compagnie font partie d’une grande et même famille. Dans des scénarios dignes d’Amour Gloire et Beauté, tout le monde couche avec tout le monde selon les périodes. Etant favorable à l’amour libertin à plusieurs (n’est-ce pas chérie ?) vivement une tournée commune HELLOWEEN, GAMMA RAY et UNISONIC. Oui c’est presque fait avec deux des trois dans à l’Olympia le 8 avril prochain. Un concert à ne pas rater !

Oshyrya (7,5/10)

 

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Sony Music – Replica Promotion / 2013

Tracklist (60:03 mn) 01. Nabataea 02. World of War 03. Live Now ! 04. Far from the Stars 05. Burning Sun 06. Waiting for the Thunder 07. Hold me in your Arms 08. Wanna be God 09. Straight out of Hell 10. Asshole 11. Years 12. Make Fire Catch the Fly 13. Church Breaks Down