Ohoh du Underground Symphony, méfiance vont se dire certains malfaisants biggrin A tort car là c'est enregistré et mixé au Finvox Studio rien à redire sur la prod ou le mix, et ce ne sont pas des italiens mais des suédois. Comme d'habitude avec ce label ,le packaging est magnifique, très soigné et l'intérieur aussi. Hammerfall a intérêt à faire très attention, le heavy délivré est d'excellent facture avec une pointe de second degré à la Powergod ( d'ailleurs le timbre du chanteur et certaines lignes évoquent aussi les teutons). Ils ont piqué quelques pages du dictionnaire de Manowar (voir les titres de chansons) et on a droit à quelques ohohohohohoh bien sentis .
Bien varié : des hymnes (Metal Brothers) , du speed ( The gatekeeper, King of Transylvania fait penser à Edguy ), des titres heavy purs et durs, sans oublier le du désopilant mais irrésistible " Heavy Metal Never Dies " qui ouvre l'album. Rien de neuf dans la marmite c'est sur, mais par c'est franchement bien fait, pas gonflant pour un sou , un bon sens de la mélodie (les riffs sont bien entêtants), coté gratte ça assure bien et les solos sont très plaisants, un chanteur juste qui n'en fait pas trop : impossible de ne pas headbanguer, de ne pas adhérer à la musique du groupe même si des petites références sortent par si par là. C'est varié, ça pete bien (live ça doit être excellent) : un groupe qui va trouver facilement des preneurs, l'air de rien ce n'est pas un album qui va dormir sur une étagère.
Papy (07/10)
www.facebook.com/CryonicTemple
Underground symphony / 2002
Track listing (43:31) : 01. Heavy Metal Never dies 02. Metal Brothers 03. Warsong 04. The gatekeeper 05. Rivers of pain 06. King of Translyvania 07. Steel against steel 08. Mighty warrior 09. Over and over.
Author:
Hamster Forever
Jan
1
Un joli cadeau de fin d’année que nous offre Holy Records avec ce Holy Bible volume 4 qui compte près de 80 minutes d’inédits. Cela permet de découvrir une large palette de l’écurie française et a même de l’intérêt pour les fans. Entre les brutaux (Ominous, Gloomy Grim, Exhumation et les mythiques Natron), les plus calmes (Soulgrind avec un morceau en finlandais, Tristitia et Argile), les heavy (Misanthrope, Nightfall et un superbe morceau de Septic Flesh), les indus (Division Alpha et un très sombre et très oppressant et au néanmoins magnifique S.U.P.) et surtout un tas d’ovnis (tous les autres !), Holy Records peut être fier d’avoir un catalogue aussi varié. L’ensemble de ces inédits sont de bonnes qualités et il n’est pas question ici d’un quelconque remplissage. Et en parlant des “ovnis “, il faut mentionner le très bizarre morceau de Chaostar entre grind et voix lyrique seule, la superbe performance d’Elend uniquement en orchestration symphonique dans ce style qui leur est propre ainsi que de Am’Ganesha’N (entre Trip Hop et chorale féminine) et surtout de Stille Volk et leur chanson on ne peut plus traditionnel et éloigné du metal. Bref en un mot et un seul le cru n° 4 de la Sainte Bible est une bonne cuvée !
Vik (08/10)
Holy records – Wagram / 2002
Track listing (79:58) 1.DIVISION ALPHA /Cobalt hope 2.OMINIOUS /The night 3.RAJNA /Shüshaï 4.MISANTHROPE /Contemplation 5.ELEND /Silent Slumber : A God That Breeds Pestilence 6.NIGHTFALL /Regret 7.GLOOMY GRIM /Nocturnal beast 8.STILLE VOLK/Chanson à boire 9.TRISTITIA /When tears still cry 10.NATRON /Red Creeps 11.SEPTIC FLESH /The Thief of Innocence 12.AM’GANESHA’N /Hope 13. SOULGRIND /Ylermi 14.S.U.P. /Insanity 15.EXHUMATION /Infinte Shadow 16. CHAOSTAR /Elegy 17.ARGILE/Summerian Madrigal.
Sans contestations, un des grands évènements musicaux de la fin 2002 : les trois anciens Rage Against The Machine associé à la voix de Chris Cornell. Et que peut donner un tel mélange ?
Dès l'introduction de Cochise, premier single de cet album, on revient aux sonorités du premier album de Rage Against The Machine et la machine démarre au quart de tour avec un riff dont Tom Morello connaît le secret dans la lignée de tout ce qu'il a composé auparavant. Et sur ce fonds de fusion, se pose la voix de Soundgarden époque Badmotorfinger, fini la voix douce de Black hole sun, Chris renoue avec sa voix agressive du Jesus Christ pose, même si l'on constate avec regret que Chris a perdu un peu de sa puissance. S'en suit Show me how to live, dans la même ambiance que Cochise mais avec une voix plus posée.
Mais l'abum se diversifie par la suite avec par exemple le " Led Zeppelinien " Set it off. Audioslave s'essaye à de la musique plus douce, réussi comme Like a stone ou vraiment dispensable comme I am the highway, même si pour l'occasion de cette ballade, Tom a sorti sa guitare sèche. Le reste de l'album se suit avec enchaînements de bons titres tels Exploder, Light my way et d'autres carrément moins comme Bring 'em back alive ou The last remaining light. A noter le bluesy Getaway car qui nous replonge à l'époque de Temple of the dog. La production assuré par Rick Rubin est impeccable, à la fois clair et très naturelle. Quant à la paire rythmique, elle reste comme on l'a connue dans Rage Against The Machine : très sobre, très solide avec un groove dépouillé des plus efficace. En conclusion, l'ensemble de la presse, et je me joint à eux, estime que cet album est pas mal du tout, un peu inégal mais qu'on attendait mieux de la part d'une formation aussi prometteuse.
Vik (07.5/10)
Epic – Sony music / 2002
Track listing (65:20) audioslave.jpg01.Cochise 02.Show me how to live 03. Gasoline 04.What you are 05.Like a stone 06.Set it off 07.Shadow on the sun 08.I am the highway 09.Exploder 10.Hypnotize 11.Bring em back alive 12.Light my way 13.Getaway car 14.The last remaining light.