Archive for mai, 2013

Mortal Form – The Reckoning

oshy_12052013_Morta_ForC’est la crise, ma bonne dame, et pout ne pas crever de faim sous le joug impitoyable de notre dictateur poilu, je me farcis aujourd’hui la chronique de The Reckoning, le troisième LP de MORTAL FORM, un groupe Death / Thrash originaire d’Arnhem/Duiven aux Pays-Bas. Oui oui du Death avec des morceaux de Thrash dedans ! Vous devinez mon enthousiasme et les minutes difficile qui allaient suivre. J’dore me faire ramoner les conduits auditifs à coup de scie-sauteuse… MORTAL FORM est né en 1994 et peut se prévaloir de deux EPs et deux albums, Evil Reborn en 2001 et Taste The Blood en 2008 déjà chez My Kingdom Music.

Je m’attendais au pire en lançant mon lecteur mp3 et la première chanson « Storm Before Calm » s’avère être une bonne surprise. Le son est bon malgré une batterie qui sonne un peu trop brute de décoffrage à mon goût. Les néerlandais ne s’embarassent pas de fioritures et vont à l’essentiel en balançant directement la sauce. Mais malgré les riffs assassins et la batterie infernale, on sent une certaine « mélodicité » et un rythme martial et bourrin du meilleur effet. Le refrain deviendrait presque agréable dans ce joyeux massacre sonore. Ralph au chant se pète comme il se doit les cordes vocales et insuffle une sacrée dose d’énergie et de violence à l’ensemble. Ca défouraille sévère tout en laissant la place ici et là à des respirations plus mélodiques. Ce constant ne s’applique pas à l’ensemble des chansons proposées. Les bataves reviennent vite à un Death plus académique avec des agressions comme « Forsaken Graves » ou « Dungeon ». Et là c’est moins la fête pour moi. Le groupe annonce d’ailleurs des influences assez larges, entre DEATH, KREATOR, MORBID ANGEL, IN FLAMES et IRON MAIDEN. Chacun pourrait (presque) trouver son bonheur ici.

Je n’ai qu’une petite expérience du genre mais il me semble que MORTAL FORM a fait sérieusement le boulot et propose un album solide et même de plaire aux furieux de rédaction. Par contre l’originalité n’est pas au rendez-vous, ils ne font qu’appliquer consciencieusement le petit Death métal illustré.

Oshyrya (06/10)

 

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My Kingdom Music / 2013

Tracklist (40:32 mn) 01. The Reckoning 02. Storm Before Calm 03. Forsaken Graves 04. Dungeon 05. Apocalyptic Aftermath 06. As Nature Turns Evil (the sleeper awakes) 07. Miasma 08. At Fever Pitch 09. Radiation Breath 10. Sinners Repent

oshy_10052013_Sou_o_SteeSOUL OF STEEL est, sans forcément le vouloir, une parfait illustration de la scène power metal symphonique/mélodique italienne. Dans son parcours d’abord puisque le groupe nait en 2007 et réalise rapidement une première démo, Reborn, puis signe avec un petit label indépendant italien, Underground Symphony pour la parution d’un premier opus, Destiny en 2010. Les fans un peu geek comme moi de métal italien underground ont apprécié ce premier effort à la jolie pochette et au potentiel à développer. Pour aller plus loin et progresser, SOUL OF STEEL se tourne alors vers un label plus prestigieux et à la meilleur distribution, Bakerteam Records, filiale de Scarlet Records. En finançant sans doute l’enregistrement mais aussi son édition, revoici les transalpins avec un deuxième opus, Journey To Infinity.

Et là, à nouveau, de façon assez symbolique, SOUL OF STEEL propose un album sympathique, parfois vraiment intéressant mais vraiment trop cliché et avec de grosses faiblesses qui plombe les perspectives du groupe. Oui les musiciens sont plutôt doués techniquement, le métal symphonique proposé est d’un bon niveau mais cela le suffit pas dans la concurrence actuelle. Il sonne très, trop cliché. D’autres groupes sonnent mieux, avec des mélodies plus attrayantes et une finition plus soignée. Rien que récemment, GLORYHAMMER (ici) et TROPHALLAXY (ici) me semblent être bien supérieurs à SOUL OF STEEL. Malgré toute la bonne volonté des italiens, le chant est aussi un point faible, Gianni Valente manque de coffre et ne peut rivaliser avec les meilleurs. Ses montées dans les aigus ne sont pas idéales non plus. L’accent est très marqué et le tout tombe un peu à plat, voir sonne parfois limite amateur. La comparaison avec Roberto Tiranti (ex-LABYRINTH) qui fait une apparition en guest sur une version acoustique de « Last Desire » est assez défavorable à Valente.

Malgré tous ses efforts, SOUL OF STEEL ne peut encore rivaliser et sonne un cran en dessous que la concurrence européenne. Journey To Infinity a beau avoir été produit par Olaf Thorsen (LABYRINTH, VISION DIVINE) et mixé par Simone Mularoni (DGM) le compte n’y est pas. Les collectionneurs comme moi achèteront les autres passeront leur chemin. Je trouve ce constat un peu triste et s’applique encore à de trop nombreux groupe transalpins qui méritent pourtant mieux. Et encore la temps des productions risibles (au niveau du son genre SKYLARK) est désormais derrière nous.

Oshyrya (05/10)

 

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Bakerteam Records / 2013

Tracklist (74:01 mn) 01. Aeternum Tormentum 02. Through The Gates Of Heaven 03. Shadows Of The Past 04. Neverland 05. Waiting For 06. The Fallen Angel 07. Journey To Infinity 08. Like A Memory 09. Secret Words 10. Portrait Of My Last Dream 11. Last Desire 12. Eternal Life 13. Last Desire (Acoustic Version) Special Guest: Roberto Tiranti

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01. Peux-tu présenter à nos lecteurs VULCAIN ?

Marc Varez : Oh là, tout un programme ! Nous sommes un groupe français qui s’est formé dans les débuts des années 80 et qui, petit tà petit, s’est fait un nom à travers quelques albums et pas mal de tournées. Nous sommes avant tout un groupe de scène. Nous avons souvent été comparé à MOTÖRHEAD et sans doute à juste titre. Cela fait plaisir car nous sommes conscients des ressemblances mais nous ne faisons pas de copier/coller, nous ne sommes pas un tribute band à MOTÖRHEAD. Nous savons que nous avons réussi à avoir une identité et c’est la chose la plus difficile à faire pour un groupe. Si on nous appelle les MOTÖRHEAD français c’est pas grave, il y a pire comme comparaison c’est un problème. VULCAIN a eu la chance de rencontrer ses idoles et de faire des dates avec eux mais aussi avec IRON MAIDEN, SAXON avec beaucoup de gens. Nous avons eu un respect de la part de ces artistes internationaux et aussi un respect de la part du public français et des gens du métier. Nous sommes assez fiers de nos sept albums et deux lives.

Nous nous sommes absentés pendant 10 ans. Séparation en 2000 et retour en 2010 encore plus forts et on sort aujourd’hui notre huitième album studio, tout simplement V8. Le huitième, l’image du moteur puissant qui correspond bien à la musique et nous n’avons jamais caché notre passion pour les sports mécaniques. Notre dernier opus s’appelait Stop la machine et pourtant la machine repart avec un moteur puissant.

 

02. Comment vous sentez-vous quelques semaines avant la sortie de ce huitième album, après 15 ans de silence ?

Nous sommes très heureux de ce qui se passe autour du groupe en ce moment car nous sentons bien un réel engouement pour VULCAIN et ce nouvel album. Si on s’est reformé c’est que nous savions bien que l’attente existait mais nous avons eu la volonté de faire les choses en indépendants, sans maison du disque et donc nous sommes fiers du buzz qui grandit autour de V8.

 

03. Que peux-tu nous dire des sessions d'enregistrement de V8 ?

On n'a rien changé, nous sommes un groupe de rock pur et dur et donc nous nous sommes rassemblés dans un local et nous avons joué. Nous avons jammé mais aussi travaillé sur des riffs déjà composés par l’un ou l’autre. On présente ses idées aux autres, on improvise, on fait des essais et on laisse tourner pour voir si cela prend. On coupe, un fait un break, on rajoute un refrain. Quand nous sommes assez sûrs de notre coup, on hésite pas à les tester en live, ce fut le cas de deux chansons pour V8. Certains fans ont déjà entendu « Avec vous » et « Lâchez nous » qui ont déjà été joués sur scène.

Après la phase d’enregistrement où tout n’a pas été simple à cause de quelques accidents de la vie. Le bassiste s’est cassé le bras deux fois de suite, deux fractures à trois mois d’intervalle, pas de chance. Et au moment où nous étions prêt à nous y remettre, Daniel (NDLR : Puzio), le chanteur-guitariste se casse une côte. Et tous ceux à qui s’est déjà arrivé savent que l’on ne peut pas faire grand-chose dans ce cas-là, pas chanter en tout cas. Donc cela nous a un peu retardé mais sans plus que ça nous miner car nous savions que nous avions le temps. Nous faisons les chose lentement mais sûrement. On a pris notre mal en patience.

L’enregistrement a été réalisé dans une ambiance très conviviale, chez moi, puisque je dispose de mon propre studio. Donc on savait que nous ne serions pas tributaires d’un ingénieur du son ou d’un réalisateur-producteur quoi voudrait nous faire tenter des choses dont nous n’avions pas envies. Cela nous est déjà arrivé. Nous avons réussi à obtenir le son que nous souhaitions depuis bien longtemps, en particulier, bien entendre la basse. On pouvait bosser le week-end en organisant une bouffe en parallèle, en faisant un peu la fête… Donc bon esprit comme on aime chez VULCAIN avec quelques chansons paillardes pour terminer le repas avant de s’y remettre.

 

04. Pour cet album vous êtes-vous plongé dans le passé pour retrouver des vieux riffs ou des titres inachevés ?

Composez-vous beaucoup pour ensuite faire le tri ou ne travaillez-vous que ce qui finit ensuite sur l’album ? Nous pas de vieux riffs ici, tout est tout neuf. Si c’était resté dans les tiroirs à l’époque c’est bien qu’il y avait une raison donc rien du passé. Peut-être que Daniel a réutilisé des choses qu’il avait tenté avec MR JACK, le groupe qu’il avait monté pendant notre séparation, un riff ou deux. Sinon la composition s’est faite à la volée avec l’idée de proposer du vrai VULCAIN, tout frais tout neuf. Nous avons bien dû composer quelques titres de plus qui sont finalement passés à la trappe parce qu’ils n’étaient pas encore mûrs ou pas tout à fait dans le cadre de cet album. Quand nous les mettions bout à bout avec les autres, nous sentions qu’il y avait un truc qui n’allait pas et donc on les a écartés. Maintenant, nous pourrons les retravailler si l’occasion se présente.

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05. Quelles sont vos influences passées et présentes ?

Bizarrement l’évolution de nos influences musicales s’est faite pendant notre carrière d’avant. On vient du rock n’roll des années 70 forcément : MC5, THE STOOGES, GRAND FUNK RAILROAD. Dans les trucs plus guitares TEN YEARS AFTER, Alvin Lee qui nous a quitté très récemment, LED ZEPPELIN, DEEP PURPLE, les STONES, des choses classiques. Le punk a aussi eu une grande influence puis ensuite la vague MOTÖRHEAD, SAXON est arrivée. Tout cela fait partie de notre culture. Et puis dans notre évolution, nous avons tenté de nous écarter de MOTORHEAD avec des albums comme Transition ou Big Bang qui ont déplu à certains fans de la première heure mais artistiquement nous avions besoin d’innover. On assume, on ne regrette rien.

Après 15 ou 20 ans de carrière, il faut évoluer, tu ne peux pas toujours faire la même chose, c’est évident. Les dix ans d’arrêt n’ont rien changé vraiment, nous avons tous individuellement écouté ce qui se faisait autour de nous. Mais finalement, dans VULCAIN, nous avons toujours écouté chacun des choses assez différentes. Après 10 ans d’absence personne n’est venu pour dire maintenant moi je veux faire du grunge ou je ne sais quoi d’autres. Nous devions faire du VULCAIN et ce que nous avons fait. Ce qui a pu peut-être évoluer, je l’espère, c’est notre jeu mais musicalement, V8 reste du pur VULCAIN.

 

06. De ton point de vue quelles sont les principales différences entre Stoppe La Machine & V8 ?

Je ne sais pas pourquoi les gens ont pu être déçus par Stoppe la Machine car je trouve que c’est un superbe album. Justement on y trouve une maturité, on sent bien qu’il s’agit d’un groupe qui a vécu sur scène, dans la maîtrise et les compos. En plus l’enregistrement s’était déroulé magnifiquement bien, un super studio à Toulouse, des conditions idéales… On savait juste qu’un truc nous pendait au-dessus de la tête, car on y pensait depuis un moment c’était de s’arrêter. Donc même si notre esprit était, on savait que cela nous servirait aussi pour dire au revoir, peut-être pas adieu, mais au moins au revoir. Et le titre lui-même, Stoppe la machine, était assez révélateur. Et donc c’est album était celui de la maturité mais pas de bol on s’arrêtait.

Je pense que V8 aussi est un album solide et fort mais au contraire il est là pour recommencer. Les titres sont speed comme d’habitude, certains titres sont plus médium à la AC/DC… On peu de blues car on vient de là aussi. Les ingrédients sont les mêmes que pour Stoppe la machine. On revient, et au niveau, et les perspectives sont intéressantes. Les gens ont l’air de ressentir que l’on est gonflés à bloc et prêts à repartir comme avant. Les histoires d’âge ne sont jamais rentrées en compte.

 

07. Est-ce important pour Vulcain d’avoir des textes engagés ?

En fait c’est différent pour chacun, cela dépend de ce que tu fais. Comme dit Daniel, sur la musique que l’ont fait, il serait difficile de parler de la musique et des petits oiseaux. Je ne dirai pas que VULCAIN est un groupe engagé mais un vrai groupe de rock qui garde un côté rebelle, c’est la base de notre genre musical. Donc forcément un peu anarchiste et contestataire mais nous ne sommes pas engagés politiquement dans un camp ou une autre. On en demande pas aux gens de se rassembler autour de telle ou telle idéologie mais nous faisons des constats. Et nous donnons des coups de gueule où nous avons envie de les donner. On est des rockers et fiers de l’être.

 

08. Est-ce un avantage ou un inconvénient à travailler avec deux frères ?

(Rires)… Ils ont forcément un lien privilégié, fusionnel lié au sang. Depuis le temps que je suis avec eux, ils me considèrent comme un petit frère. Le problème de tous les groupes c’est quand tu as trois caractères différents c’est pas facile tous les jours. Mais cela fait partie de la vie, du quotidien d’un groupe de rock. Comme je le dit souvent, un groupe c’est comme un couple, mais on est plus de deux. C’est déjà pas facile à deux alors bon, on fait avec. Mais on s’en sort bien, on se connait et si un jour un sujet fâche on va attendre pour en reparler que les choses se tassent… En tournée nous sommes les uns sur les autres toute la journée et c’est bien cela qui fatigue un groupe. Tout ne se passe pas toujours bien, cela crée des tensions. Maintenant c’est derrière, nous avons l’expérience et nous savons gérer sans souci. On s’engueule pas souvent.

 

09. Tu as participé au retour sur le devant de la scène de SATAN JOKERS en 2009, que peux-tu nous en dire ?

Rien.

 

10. Pourquoi le choix de la batterie ? Et comme fais-tu évoluer ton jeu ?

Le départ c’est LED ZEPPELIN et John Bonham. Au départ je faisais de la guitare et je pensais que c’était mieux pour draguer les filles. Et le jour où j’ai arrêté de draguer les filles et que je me suis intéressé aux instruments, la batterie s’est imposée. Je fais évoluer mon instrument selon mes envies et ce que j’écoute. Je suis assez ouvert et j’écoute beaucoup de choses. Rien que dans la famille du Hard Rock je suis éclectique, jazz, la techno, rien ne me dérange, je ne suis pas raciste. Il faut juste que cela me fasse vibrer. Et forcément parfois des éléments extérieurs, des musiques et des rythmes me plaisent et je les intègre dans mon jeu. Je suis aussi à l’écoute des autres et j’apprends au niveau des influences, du jeu. Je ne suis pas un fou de la technique, bien sûr il en faut pour arriver à jouer correctement mais cela ne va pas en premier. L’esprit de groupe en premier.

Je ne bosse pas autant que je le devrais mon instrument mais je me maintiens. Sur scène, on fait évoluer et des gens ont remarqué que nous ne jouons pas d’anciens titres comme avant. Nous avions la fâcheuse tendance à jouer tout trop vite sur scène, à speeder. C’est une erreur de jeunesse, tu montes sur scènes et tu joues tout deux fois trop vite et ce n’est pas toujours très bon. Et pas mal de titres, surtout les tempos plus groovys et médiums, « Les Damnés » par exemple, beaucoup ont noté que nous le jouons plus lentement. C’est vrai, en répétition on s’est dit maintenant on calme le jeu et on veut que cela groove. Moi j’ai évolué dans mes jeu, des roulements que je fais plus pareil. On se permet encore des petits arrangements.

vulcain

11.Comment vois-tu la scène métal française ?

Elle existe c’est déjà bien. Il y a de bonnes choses. On est moins maintenant dans le tirage de bourre par rapport à une époque du passé. Dans les années 80 c’était parfois compliqué et cela explique que VULCAIN était toujours un peu à part sur la scène française. On ne s’occupait pas de ce que disait les autres et on avançait. Notre priorité était la convivialité avec les autres groupes même si les styles étaient différents mais on s’entendait bien avec par exemple BLASPHEME et ATTENTAT ROCK car cela passait au niveau humain et que nous savions que nous étions là pour jouer. Des tensions existaient avec d’autres groupes. Désormais c’est loin, l’évolution a pris la bonne direction et les groupes font de plus en plus comme nous et se gèrent eux-mêmes. Tout est plus organisé structuré et ils savent gérer les parties business qui nous passaient au-dessus nous à l’époque. Nous n’étions que musicien et nous laissions faire.

 

Et enfin "Le Quizz De Métal Chroniques Quizz" pour terminer cette interview :

1. Quelle est ta chanson préférée (tous artistes, époques…) ?

Je reviens à mon premier amour, LED ZEPPELIN, « Since I've Been Loving You ». Le plus beau blues du monde…

 

2. Premier album acheté ?

Les hardos vont être déçus mais c’est un album des BEATLES. J’étais très jeune et c’était une double compil achetée avec mes sous. J’avais un frère et des sœurs pour les STONES ou TEN YEARS AFTER mais la révélation a été ALICE COOPER. Un jour j’ai trouvé Billion Dollar Babies (1973) chez mon frère, j’ai ouvert la pochette et je suis allé voir ma mère pour lui dire : « plus tard je serai comme ces mecs ». Et alors j’ai commencé à filer un mauvais coton.

 

3. Dernier album acheté ?

Heaven Is Gone de SEVENTH VOID, le projet du guitariste de TYPE O NEGATIVE. Sinon le dernier DEFTONES, Koi No Yokan, car j’aime beaucoup ce groupe.

 

4. Quel son ou bruit aimes-tu ?

Le crépitement de ma cheminée car là je sais que je peux me reposer un peu.

 

5. Quel son ou bruit détestes-tu ?

J’habite à la campagne et quand le coq chante trop tôt le matin…

 

 

Tous nos remerciements à Olivier Garnier (Replica Promotion)

 

Chronique de l'album ici

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